10 janvier 2008
Juste derrière la porte...
(...)un paysage ne sera jamais un théorème, un chiffre ou une géométrie. C'est un vertige, une marche, une sensation et des fois une musique. (...) Il est des paysages comme une fête. Gilles Lapouge, L'encre du voyageur, Albin Michel, 2007, page 245.