(...)un paysage ne sera jamais un théorème, un chiffre ou une géométrie. C'est un vertige, une marche, une sensation et des fois une musique. (...) Il est des paysages comme une fête.
Gilles Lapouge, L'encre du voyageur, Albin Michel, 2007, page 245.
Superbe,touchant,image qui produit sur moi une avalanche de pensées.
P
pierre
14/01/2008 21:06
Paysages de mon enfance<br />
Paysages intimes<br />
Qui donnera leur chiffre<br />
En établira la loi<br />
Le sésame?<br />
Pas moi, pas toi, car ils sont à refaire, se défont, se refont, chaque jour, à chaque instant.
L
laseine
13/01/2008 23:43
Voilà une belle manière d’entrebâiller une porte qui nous protège de ce qu'elle est sensée nous protéger, mais qui nous empêche en même temps d'admirer le paysage qui est juste derrière.<br />
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Voilà une belle manière d'ouvrir les esprits comme on ouvre les portes et de les libérer les mentalités de leur rigidité, y compris les nôtres.<br />
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J'aime ces ocres terre rouge. J'aime cette photo.
I
Intishar
13/01/2008 22:33
On dirait la photo de ma propre mémoire..!!!
A
amel
13/01/2008 12:52
je ne sais plus qui disait qu'on le portait déjà en soi pour le reconnaître en dehors de soi. <br />
Ce serait-ce une découpe de paysage sur une porte surmontée de la frise d'un balcon? <br />
Magnifique travail!