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18 mai 2009

Réflexions sur l'oeuvre de Nabil Boutros

P1130830P1130831Dans le cadre de la troisième édition des rencontres internationales de la photographie de Fès, le photographe Nabil Boutros expose à la galerie Rio une série de  portraits photographiques. Le photographe a pris comme modèles quatre dramaturges africains (Koffi Kwahulé, Dieudonné Niangouna, Marcel Zang et Koulsy Lamko). Sur certaines photographies, on peut lire une réflexion  tirée de l'oeuvre de chacun de ces auteurs. Ainsi, l'une d'elles porte dans la partie inférieure du tirage ce message : " C'est dans le corps absent que commence la vraie tragédie" (cliquez sur l'image en haut à droite pour voir cette image). Cette galerie est en réalité une ancienne scierie désaffectée transformée pour l'occasion en espace d'exposition. Ce matin, je m'y suis rendu (en dehors du vernissage) pour pouvoir dialoguer en tête à tête clair et limpide avec les oeuvres...Malheureusement, il y avait trop de réflexions parasites! Ces dernières étaient animées par des techniciens qui étaient en train de monter une tente-studio!

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Cliquez sur chaque image pour la voir en grand

Je reviendrai dans un prochain billet et de façon plus approfondie, sur ces réflexions...


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Commentaires
M
Ta série est fantastique!! J'aime beaucoup cet effet de vision transparente pour appréhender l'oeuvre!! <br /> C'est assez fascinant!!<br /> Bises.
S
J'arrive un peu tard, mais je te souhaite beaucoup de succès pour ton expo.
M
Corps absent, corps de notre mémoire de la nuit.<br /> Belle journée l'ami.<br /> PS: Désert blues (le second est bien aussi - rires) est un bel espace pour le Voyage (sourire)
K
M'émeuvent - et c'est bien le sentiment ressenti ces tête à tête d'ombre et de présence diffuse ... Qui sommes nous de nos ombres et/ou de nos reflets ? Narcisses effacés des rêves déchus ... Je ne sais pourquoi, cette série me fait penser au moment de fracture dans " A quoi rêvent les loups " Cette seconde où tout bascule d'avoir volé trop haut dans nos idéaux ... ou plus exactement, juste avant cette seconde ... Mais il est vrai que les idéaux refusent toute bassesse ;-))
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